« C’est parti. Que la mission commando commence ! » La porte de la chambre entre-ouverte, Casey et Andrew surveillait le couloir de leurs petits yeux globuleux. Le moindre bruit, la moindre ombre et ils étaient cuits. Enfin, ces choux prenaient surtout ça très au sérieux ! Après deux ou trois regards à gauche et à droite, Andrew se rendit avec silence mais précipitation dans la chambre en face de la sienne, Casey à ses talons. La pièce était grande et composait un lit double qui ferait rêver tout enfant de leur âge. Une grande armoire et une table de chevet complétaient le tout. Sur la pointe des pieds, les jumeaux semblaient cherchés quelque chose du regard. « Mais t’es sûre qu’il est là ? » Casey prenait Andrew pour un gros mytho, y’a pas photo. Et à cette âge là il est clair qu’on adore mentir. « Chut parle moins fort. Oui j’en suis sûre. Maman avait bien dit à papa que son chat était dans la chambre. » Les yeux remplies d’impatiente, ils touchaient vraiment à tout. Ils fouillaient les placards de fond en comble en espérant chaque seconde trouver une petite boule de poil noir. Ils le voyaient noir ce chat, allez savoir pourquoi. Sûrement à cause des histoires de la vilaine Sorcière et de son chatounet noir. En plein milieu de leur fouille plus que passionnante, le parquet craquait dans le couloir…quelqu’un arrivait. Les twin glissèrent sous le lit de leur parents pour ne pas être repérés, mais aussi adorable qu’ils puissent l’être, on pouvait voir le pied d'Andrew dépasser.
« Sortez de là les enfants. » Jane Wilson croisa les bras. Une petite voix inconnu étouffé par l'isolement du lit, fit sourire leur mère. « Y’A PERSONNE ! ». Après quelques secondes de débat avec maman, ils finirent enfin pas sortir de sous le lit. « Vous savez pertinemment que je n’aime pas vous voir dans notre chambre. Qu’est ce que vous faîtes là ? » Les pieds tournés vers l'intèrieur, Andrew et Casey de regardent mutuellement sans savoir quoi répondre à leur mère. Elle attend une réponse, les yeux grands ouverts, bien comme ils détestent. Andrew décida alors de plonger en premier. « Ben…Ben en fait…On…On voulait chercher le chat que t’avais parlé à Papa… » Casey se contenta juste d’hocher la tête. Jane les regardais comme s’ils étaient fou. « Le chat ? Quel chat ? » Après quelques secondes de réflexions, elle reprit. « AH LE CHÂLE! Je parlais de mon châle les chéries, pas de mon chat. Voilà ce qui arrive quand on écoute les conversations des grandes personnes. » sont-ils pas mignons ?

à revoir

La première fois qu'il l'avait vu, c'était sur un banc devant l'université. Il ne lui avait pas vraiment parler, il ne l'avait ni vraiment regarder, mais assez pour savoir qu'elle le fixait. Face a ça, le plus souvent il évite leurs regards, histoire de se faire désirer...Non il n'est pas professionnel, mais voilà quoi (a). Et c'était très souvent comme ça, elle le fixait, sans aucune raison. Il trouvait ça flatteur mais assez gênant d'un autre côté. Il avait l'impression d'être suivie, alors que bien sûr ce n'était pas du tout le cas. En plus elle était jolie, alors le côté charmeur ressortait tout doucement de son trou. Elle avait l'air d'une habituée du banc posé devant l'université. Il n'était donc pas difficile pour lui de la trouver pour parler. Une fin d'après-midi, les oiseaux chantaient, des cris d'enfants résonnaient à l'horizon. Andrew est venu s'asseoir à côté d'elle, sur son banc. Il lui avait posé une question, une simple et unique question. « Tu compte me regarder comme ça encore longtemps ? » Et tout ça accompagné de son plus beau sourire. « Si tu me parlais autrement, peut-être que je reconsidérerai la question. » Lui répond-elle avec le sourire. Il l'a voyait comme ça, ou peut-être pas...En tout cas ce n'est pas une fille facile, un petit garce sur le bord. Et pourtant, bizarrement, c'est ça qui l'attire chez elle. Il est persuader qu'au fond d'elle, c'est quelqu'un de superbe. Elle est juste mystérieuse, comme lui, et il adore ça. Mais est ce que c'est juste un jeu, ou est ce qu'il l'apprécie vraiment ?...



Faith et Skye au loin, assises les cheveux au vent. Que dire ? En voilà une belle brochette !