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| AKAD ↨ Death, that hath sucked the honey of thy breath, Hath had no power yet upon thy beauty. | |
| Auteur | Message |
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A-K. Absynthe Darcy
☇ messages postés : 60 ☇ avatar : Grace Hartzel ☇ à londres depuis le : 19/05/2013
| Sujet: AKAD ↨ Death, that hath sucked the honey of thy breath, Hath had no power yet upon thy beauty. Dim 19 Mai - 17:59 | |
| anastasia-katherina absynthe petrova darcy
Death, that hath sucked the honey of thy breath, Hath had no power yet upon thy beauty.
SURNOMS: aucun surnom, à sa connaissance. ÂGE: 22 yo. DATE ET LIEU DE NAISSANCE: 16 Octobre 1990 à St Petersbourg. NATIONALITÉ ET ORIGINES: Elle est anglo-russe, native de Russie, imigré en Angleterre. MÉTIER/ÉTUDES: Elle suit le cursus MODE dans le MANNEQUINAT. STATUT CIVIL: veuve. PERSO INVENTÉ OU SCÉNARIO: inventé par moi même . OCCUPATION: le sport à outrance? GROUPE: FASHION. CRÉDITS: tumblr.
| Elle déteste qu'on l'appelle Absynthe, mais cela reste un nom à consonnance plus anglaise qu'Anna-Katherina, donc tout le monde l'appelle Absynthe + elle hait tout ce qui peut avoir un lien avec son feu mari + elle avait un chat blanc comme la neige nomé Beljic ( voulant dire "blanc" en russe ) + Elle remet toujours ses meches de cheveux en place + elle sait très bien ce qu'il se passe entre son frère et sa soeur, mais fait semblant de rien + sa mère lui manque, ainsi que son père, même si elle l'a peu connu + elle hait son frère pour les avoir laissé en plan, malgré le fait qu'il soit parti venger la mort de leur père + elle a une tache de naissance en forme de goutte d'eau au dessus du sein droit + des petites faussettes se forment dans le coin de ses joues quand elle sourit + il lui arrive souvent de jurer en russe, pour ne pas être comprise + elle n'aime plus du tout le sexe, après son lourd passé + cette jeune demoiselle n'a jamais cru en l'amour + elle démonte toute personne qui se met en travers de son chemin + malgré son corps frêle et ses allures de petite fille fragile, la jeune femme maitrise à la perfection le krav maga + elle attend le retour de sa soeur avec impatience + anecdotes, tic, manie + anecdotes, tic, manie + anecdotes, tic, manie + anecdotes, tic, manie + anecdotes, tic, manie + anecdotes, tic, manie + anecdotes, tic, manie + anecdotes, tic, manie |
PSEUDO + PRÉNOM: Clémence ou love the way u lie. ÂGE: 19 ans dans quelques mois. COMMENT AS-TU DÉCOUVERT UOA: par le top-site Obsession. AVIS SUR LE FORUM: Il a l'air au top . CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR: Grace FUCKINGHOT Hartzel.
Dernière édition par A-K. Absynthe Darcy le Dim 19 Mai - 18:34, édité 5 fois |
| | | A-K. Absynthe Darcy
☇ messages postés : 60 ☇ avatar : Grace Hartzel ☇ à londres depuis le : 19/05/2013
| Sujet: Re: AKAD ↨ Death, that hath sucked the honey of thy breath, Hath had no power yet upon thy beauty. Dim 19 Mai - 18:00 | |
| life is a game everybody loses heaven is my baby, suicide’s her father, opulence is the end.
"Monsieur Jenkins? Une dame cherche à vous joindre". L'homme aux cheveux d'or et aux yeux d'un bleu à faire palir toutes les mers s'avancea et pris le combiné. "Oui? Trader Jenkins à l'appareil, que puis-je pour vous?". Une voix fluette, apparemment essouflée commença à parler dans une langue que seule l'homme pouvait comprendre. Un sourire se dessina sur ses lèvres, une larme vint perler à son oeil, et en un souffle, le nom parti. "Anastasia-Katherina. Da?". Et voilà. Son troisième enfant venait de naitre, et il avait pu choisir le prénom. Svetlana avait choisi les prénoms de Polina et de Fyodor, à lui de choisir, au moins pour elle. Sa cadette. Sa petite impératrice. Il ne l'avait encore jamais vu qu'il l'aimait déjà. Son petit bijou. Sa perle. Il fallait qu'il rentre pour la voir. Immédiatement. Mais comment? Quand? Par quel moyen? Il avait déjà envoyé tout son mois de salaire à sa femme pour lui permettre d'acheter les habils et les ustensiles pour s'occuper de leur enfant à venir. Une énigme à résoudre, mais à laquelle Stanislav Petrova, plus connu outre-atlantique sous le nom de Stanislas Jenkins, avait déjà la réponse: il devait trouver de l'argent, et vite. Pour cela, il avait la technique, certes risquée, mais imparable. A peine eut-il raccroché d'avec sa femme qu'il composait un autre numéro. Dring. Dring"Oui, Sergej? J'ai besoin de tes services.". La mafia, rien de mieux pour trouver de l'argent facilement. A Saint Petersbourg, en cette froide matinée d'Octobre, la jeune Svetlana reprenait des forces: un accouchement n'est pas sans conséquences. Elle était fatiguée, dégoulinante de sueur, mais elle avait son bébé dans les bras: Anastasia-Katherina. Un ange. Tout en plongeant son regard dans le bleu azur des yeux de sa fille, elle souriait et pensait à la chance qu'elle avait d'avoir rencontré Stanislav. Il était un homme si bon, si gentil, si attentionné.. Tout était parfait avec lui. Mis à part la distance constante entre eux. Mais ils se faisaient confiance et s'aimer: que demander de plus? La jeune mère songeait au futur heureux qui l'attendait quand elle entendit des pas feutrés s'approcher d'elle. "Mama, mama, on peut la voir?". C'était Polina, et Fyodor. Ses 2 autres perles, agés de 4 et 3 ans. Un petit rire s'échappa des lèvres de Svetlana, et elle pencha doucement en avant la pelote de tissu qu'elle tenait entre ses bras. Entre les étoffes de coton, on pouvait apercevoir un tout petit visage, avec 2 grosses billes bleu en plein milieu, et 2 petites mains qui dépassaient. Entre les "oh!" et "ah!" de ses enfants, Svetlana ne pouvait imaginer plus parfait tableau. Elle était heureuse. Quelques jours passèrent, et les 4 Petrova rentrèrent chez eux. Luxueuse demeure aux alentours de Saint Pétersbourg que Stanislav avait hérité de sa dynastie. Tout était parfait. Et c'est 5 jours après la naissance de la jeune fille que Stanislav fit la surprise de rentrer à l'improviste. " Les enfants, Svetlana, me voilà rentrer! Alors, comment va notre petite merveille?". Question purement rhétorique, car il ne voulait pas qu'on lui réponde; il voulait le voir par lui-même. C'est ainsi qu'après avoir embraser femme et enfants, il courut jusqu'à la chambre de son bébé. Il s'approcha à pas de loup vers le lit à bascule et regarda à l'intérieur. Une petite fée, en train de dormir. Sous ce spectacle d'une beauté sans nom, Stanislav ne put s'empêcher de lâcher un petit "moï kotik"( mon chat ) qui reflétait tout l'amour qu'il avait pour cet enfant. Il annonçait un avenir radieux et sans encombre à cette merveille. Du moins, c'est ce qu'il croyait.
Les 8 premières années de la vie de la jeune Anastasia-Katherina passèrent comme dans un rêve. Elle était dorlotée, protégée de tout danger que ce soit par sa grande-soeur, son grand-frère, sa mère et son père. L'avantage d'être la dernière de la famille. Sa vie ressemblait à un conte de fée. Lorsqu'elle pleurait, tout le monde accourait. Lorsqu'elle riait, tout le monde était charmé. Elle avait un pouvoir de séduction tel que tout le monde l'appelait la "Кукла алмаза" ou "poupée de diamant". Elle était hors de prix, hors d'atteinte. Elle était la fierté de sa famille. Aimé de tous, elle était devenue la reine de Saint Petersbourg. Elle respirait la joie de vivre, l'amour, l'innocence. La famille Petrova était le bol d'air frais et parfaitement assorti de la ville. Les 3 enfants étaient d'une discipline sans faille, d'une beauté, d'une élégance et d'une éducation à couper le souffle. Tout le monde les admirait, tout le monde les jalousait, les enviait. Mais, il ne faut pas croire que la vie reste rose à tout jamais. Malheureusement, la roue tourne, et plus les apparences sont belles et enviables, plus le retour de manivelle est destructeur. Et la famille Petrova n'échappa aucunement à la règle. Un radieux matin de Mai. La neige tenait encore sur le parc de la maison familialle des Petrova. Svetlana, levée de bonne heure, alla chercher le courrier. Facture, facture et encore des factures. Oh, une lettre anonyme. Qui cela pouvait-il bien être. Elle déposa sur la table basse les autres lettres, s'asseya confortablement dans son canapé et ouvrit l'enveloppe blanche. Sereinement, elle sortit les quelques morceaux de papiers qu'il y avait à l'intérieur. Un cri strident et abominablement fort sortit de sa bouche. Les larmes perlèrent très rapidement sur ses joues blanches. Ses mains tremblaient, elle ne savait plus ou elle était, qui elle était. La seule chose dont elle était vraiment consciente, c'était ce que lui annonçait la lettre, ou plutot la photo. Stanislav était mort. Décédé. Mutilé. Anéanti. Les pensées de la jeune femme s'entrechoquaient, se perdaient entre sanglots et hurlements. Comment? Pourquoi? Que s'était-il passé? Avait-il fait quelque chose de mal? Pour quelles raisons? Avait-il souffert? Reprenant très légèrement ses esprits, Svetlana attrapa le morceau de papier joint avec la photo: " votre mari n'aurait jamais du sympathiser avec le diable.". La mafia. Svetlana avait été marié pendant plus de 10 années à un homme qui était entrée dans la mafia. Elle ne pouvait le croire. Sous ce flot d'émotion, la jeune femme s'écroula au sol en un grand fracas. Elle partit en sanglots ininterrompus. Jusqu'au moment ou elle sentit se poser sur elle 3 paires de mains qui l’enlaçaient tendrement. Polina. Fyodor. Anastasia-Katherina. Tout les 3 là. Pour la soutenir. Avaient-ils compris ce qui venait d'arriver? Avaient-ils compris pourquoi leur mère pleurait? Sur le moment, peut être pas, mais l'amour de cette famille était telle qu'ils étaient là, à la soutenir, quoi qu'il se fut passer. La jeune mère tenta de sécher ses larmes, de reprendre ses esprits, de faire bonne figure devant ses enfants. Elle se releva et leur demanda de s’asseoir sur le canapé. Elle se baissa, pour se mettre à leur niveau et leur toucha un à un le visage. Chacun avait un trait qui lui rappelait amèrement Stanislav: Polina avait sa bouche, Fyodor avait ses cheveux et Anastasia avait ses yeux. Elle soupira fortement. Pourquoi des petits êtres aussi innocents avaient-ils à supporter ceci? Pourquoi eux? Pourquoi tant de haine? Mais, Svetlana devait leur annoncer. "Oh mes amours.. Je viens d'avoir une triste, une horrible nouvelle.. Mais sachez avant tout que je vous aime, et que votre père vous aimait, de tout son coeur, de toute son âme. Stanislav, votre père, mon époux, notre rempart.. Hé bien.. Il nous a quitté.. pour une pays très lointain. Il ne pourra plus revenir à la maison, et vous ne pourrez plus le voir. Oh mes amours, venez par là..". Elle ne put s'empêcher de leur faire un calin, quand elle vit les yeux vitreux de ses trois enfants qui avaient parfaitement compris la situation. Elle prit ses 3 petites têtes contre son coeur et tout les 4 commencèrent à pleurer. Chacun essayer d'être discret, mais cela leur était impossible. Svetlana ouvrit à peine les yeux, et entre ses larmes eut l'impression d'apercevoir une silhouette derrière le canapé. Elle l'aurait reconnu entre mille. Il la regardait. Les yeux rouge de larme et la bouche déformée de tristesse. Et, en un murmure, tel une brise de vent, elle entendit pour la dernière fois la voix de son époux: "soʐalyeyo" (je suis désolé).
La mort de Stanislav s'eclaircit peu à peu. Le jeune homme, voulant à tout prix rentrer le plus souvent possible voir sa famille, avait pactisé avec la mafia russe pour qu'en échange d'argent, il fasse quelques bon investissement qui rembourserait avec interêt les sommes qu'il devait. Cela a marché, pendant un temps, et puis le marché de la bourse étant de moins en moins bon, Stanislav s'était endetté jusqu'à en mourir. Svetlana en a voulu pour un temps à son mari. Elle lui en a voulu de ne pas lui avoir dit, de ne pas l'avoir alerté. Cette fierté maculine qu'il avait toujours eu lui avait désormais couté la vie, laissant derrière lui femme et enfants. Mais Svetlana devait rebondir, et vite. Elle ne pouvait aps se laisser abattre. Anastasia a toujours beaucoup admirer sa mère. Pendant que la petite fille pleurait encore la mort de son père bien aimé, la mère se projettait déjà: elle faisait venir des gens à la maison pour la visiter, il lui demandait combien elle vendait tel ou tel meuble. Des monstres qu'elle invitait à la maison. Anastasia les détestait. Qui était-il pour vouloir voler les biens de sa maison? C'était la sienne, tout lui appartenait. En quelques mois, sa maison fut vidé de tout objet lui rappelant son ancienne vie et peu de temps après, elle quitta définitivement sa maison, son confort, sa stature sociale pour se retrouver dans un appartement contigu dans les rues malfamés de Saint Pétersbourg. Sa soeur, Polina, la prit sous son aile et l'aida à s'endurcir, à devenir une vraie russe de souche. A 10 ans, Anastasia avait déjà pris plusieurs cuites à la vodka, car sa soeur et son frère lui apprenait à ressentir ses limites, pour ne pas finir violer et tuer dans un coin. Ils étaient intelligents. Elle apprenait à s'habiller comme les autres, à agir comme les autres, pour se fondre dans la masse. Elle apprenait vite, pcq elle avait de bon professeurs. Le changement se fit en douceur. Mais, l'argent ne rentrait plus. C'est alors que Fyodor décida de rentrer dans la mafia. Cette décision, murement réfléchi et pour laquelle il avait eu droit à plusieurs réprimandes musclés de sa mère au sujet de son père, de sa vie, d'elle et de tout le reste, ne changea pas. Il quitta l'appartement pour vivre avec les autres voyous de son espèce. Polina et Anatasia pleurèrent la disparition de leur frère comme elles avaient pleuré celle de leur père.. Il n'y avait plus aucune virilité dans la famille. Anastasia était alors agée de 14 années, Polina de presque 18. Et, à regret, la grande soeur du entrainer la petite dans son monde: celui de la dépravation. Polina était dans le monde des "sztuka" depuis presque 3 années. Elles sont les "ambassadrices de charme" des bussiness men et ambassadeurs dans leur pays. Elles sont payées pour faire passer du bon temps aux vieux hommes de passage dans leur Russie. Polina vendait son corps. Et maintenant, elle était obligée de vendre celui de sa soeur de 4 années sa cadette. Elle avait honte, mais la faim justifiait les moyens. Elle n'avait plus assez d'argent pour vivre, donc il fallait en faire entrer. Anastasia s'est vite fait au monde de la nuit, et avait vendu sa virginité pour la modique somme de 3 450 euros, ce qui faisait environ 4 mois de salaire. Et elle était rentrée dans le système. Chaque home croisant son chemin l'appelait "Absynthe". Pourquoi donc? "Une fois que l'on a gouté à ce fruit défendu précisément, on ne peut plus s'en défaire. Cette Anastasia est une véritale drogue.". Et depuis, ce nom lui est restée. Absynthe. Il était son nom d'emprunt, son prénom à moins forte connotation russe. Ce prénom était certes peut courant, mais il faisait plus occidental, plus européen. Il était son visa de sortie de ce pays. Anastasia cotoyait assez régulièrement un jeune homme, d'à peine une trentaine d'année. Il était un de ses clients réguliers: Harry Darcy. Riche homme d'affaire anglais, il avait beaucoup à faire en Russie. Un gros marché de l'informatique, parait-il. En lui, Absynthe voyait sa carte de sortie. Elle faisait tout pour le charmer, elle feignait de l'aimer pour qu'il daigne l'épouser. Ce qu'il fit. Il la demanda en fiançaille, dans les règles de l'art. Absynthe accepta évidemment. son départ était prévu pour dans quelques semaines. Elle devait d'abord, elle et sa soeur, faire une surprise à leur mère. Durant leurs années de sale travail, Polina et Anastasia avait amassé assez d'argent pour acheter à leur mère la liberté: un billet d'avion. Un allé simple, destination Paris. Elles avaient de la famille là-bas, qui voulait bien s'occuper de leur mère. Elle décidèrent donc de la faire quitter se pays de misère. Un matin, Fyodor revint à la maison. Il voulait assister au départ de leur mère pour la liberté de la France. Tout trois avaient tout prévu: Polina avait emmené sa mère faire le marché tandis que Anastasia et Fyodor faisait les valises de leur tendre génitrice. Lorsqu'elle revint à la maison, elle fondit en larme en voyant son fils prodigue de retour à la maison. Ni une, ni deux, ses enfants l'amenèrent à l'aéroport. Haletante, les yeux emplis de larmes, c'est tout de même le coeur léger que partit Svetlana pour la France. Et, les derniers mots qu'elle entendit de la bouche de ses 3 enfants à l'unisson furent: "Dosvidaniya"
Leur mère partit, les 3 enfants étaient soulagés. Ils n'avaient plus à se faire de soucis pour elle. Et chacun retourna à ses occupations. Fyodor manquait beaucoup à ses soeurs, mais c'était pour le bien de la famille qu'il faisait ça, elle le savait: il voulait venger leur père. C'est pourquoi personne ne s'était vraiment opposer à cette idée, même si elle était plus que risquée. Les jeunes filles retrouvèrent leur petit vie misérable et Fyodor repartit de son coté. Quelques semaines plus tard, Harry Darcy revint. Il prit son Absynthe sous le bras et s'envola avec elle, direction Leeds. Les adieux entre les 2 soeurs furent des plus déchirants, mais Anastasia promit à sa soeur de la retrouver, de l'aider et de la sortir de cette horreur. Anastasia s'envolait pour Leeds. Ville mythique, ville somptueuse, ville voluptueuse, ville riche, ville anglaise. Cette cité avait tout pour plaire. Anastasia s'y voyait déjà. Et le plaisir d'habiter dans une aussi belle ville passait outre toutes les horreurs que lui faisait vivre son mari! Quel horreur cet Harry. Elle le détestait. Il n'était qu'un vieux porc assoifé de sexe. Elle remplisasit son devoir matrimonial en échange d'une vie de luxe et d'aisance. Absynthe se faisait plaisir, s'habillait chez Chanel, manger dans les restaurants les plus uppés et cotoyait toute la bonne société. Mais, elle n'en oubliait pas ses priorités: Polina. Absynthe amassait peitt à petit de l'argent pour pouvoir acheter un billet d'avion à sa soeur. Elle volait quelques billets dans le porte-monnaie de son mari, faisait semblant de s'acheter des habils mais au final retirée l'argent pour le mettre de coté. Elle ne voulait pas éveiller les soupçons de son mari. Et pour ce faire, elle avait réussi à avoir l'appui de sa belle-soeur: Nova. Nova était un jeune femme, encore plus jeune qu'elle, qui avait compris la souffrance dans laquelle vivait Absynthe. Et elle la couvrait dans ses actes de vol. Jusqu'au jour ou tout bascula. Un soir qu'Absynthe attendait patiemment que son mari rentre d'une réunion, elle osa se mettre à recompter l'argent qu'elle avait amasser pour sa soeur. Grave erreur. Elle n'entendit pas le gros porc rentrer et il la surprit avec plus de 1 000 livres entre les mains. IL rentra dans une colère noire, pensant qu'elle était en train de le ruiner en cachette. Il voulut lui donner une bonne leçon. Sans entrer dans les détails, monsieur s'amusa grandement à la déshabiller, à la mettre à terre, à lui mettre des coups de pieds et à en faire un jouet sexuel. Il s'amusait à la pénétrer grâce à toutes sortes d'objets. Absynthe hurlait à la mort, ce qui a du alerter Nova, qui entra en trombe dans la chambre, trouvant sa jeune belle-soeur allongeait par terre en train de pleurer, des hématomes partout sur les cotes et toutes sortes d'objets enfouis en elle par des orifices que même elle n'aurait pas pu imaginer. Pris sur le vif, Harry voulut enfermer sa soeur avec eux, mais n'eut pas ce plaisir là. Non, ironie du sort, cette vil créature se prit les pieds dans tout ses objets de torture sexuelle et tomba tête la première sur le coin d'une de ses immondes commodes en marbre massif. Il décéda sur le coup. Nova, complètement sonnée, n'en oublia pas ses priorités. Elle vint débarrasser sa demi-soeur de toutes ses choses et l'aida à sa rhabiller tant bien que mal. Quand la police arriva, les deux jeunes demoiselles donnèrent leur version des faits et elle fut confirmer par la webcam qu'avait mis en marche le vieux porcs d'Harry Darcy. Elles s'en sortirent sans encombre. De là, les deux jeunes femmes décidèrent de quitter Leeds. Pour Londres. La famille Darcy avait une maison de campagne là-bas, elle ferait l'affaire, le temps que les 2 jeunes femmes trouvent des logements décents. Ce que fit rapidement la jeune femme, se dépatouillant du moindre lien qu'elle pouvait avoir avec la famille de cette affreux personnage qu'elle avait eu pour mari. Mais, entre-temps, Absynthe avait réussi à envoyer un billet d'avion à sa soeur, Polina. Un aller-simple St Pétersbourg-Londres. En espérant que Polina le reçoive et décide de rejoindre sa soeur..
Dernière édition par A-K. Absynthe Darcy le Dim 19 Mai - 18:24, édité 1 fois |
| | | A. Flora Blackwood
☇ messages postés : 51 ☇ age du perso : 30 ☇ avatar : emma watson. ☇ à londres depuis le : 19/05/2013
| Sujet: Re: AKAD ↨ Death, that hath sucked the honey of thy breath, Hath had no power yet upon thy beauty. Dim 19 Mai - 18:04 | |
| Grace, cette bombe sexuelle Bienvenue ! |
| | | Ismaël-Jawaad Strokes
☇ messages postés : 99 ☇ age du perso : 32 ☇ avatar : Choucroute banane aka Zayn Perfect Malik ☇ à londres depuis le : 06/08/2012
| Sujet: Re: AKAD ↨ Death, that hath sucked the honey of thy breath, Hath had no power yet upon thy beauty. Dim 19 Mai - 18:11 | |
| Bienvenue et bonne chance pour ta fiche si tu as la moindre question n'hésite pas à contacter le staff |
| | | A-K. Absynthe Darcy
☇ messages postés : 60 ☇ avatar : Grace Hartzel ☇ à londres depuis le : 19/05/2013
| Sujet: Re: AKAD ↨ Death, that hath sucked the honey of thy breath, Hath had no power yet upon thy beauty. Dim 19 Mai - 18:35 | |
| Merci beaucoup Je pense avoir fini |
| | | Casey E-H. Wilson
☇ messages postés : 502 ☇ avatar : harry styles. ☇ à londres depuis le : 06/08/2012
| Sujet: Re: AKAD ↨ Death, that hath sucked the honey of thy breath, Hath had no power yet upon thy beauty. Dim 19 Mai - 18:45 | |
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| | | | Sujet: Re: AKAD ↨ Death, that hath sucked the honey of thy breath, Hath had no power yet upon thy beauty. | |
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| | | | AKAD ↨ Death, that hath sucked the honey of thy breath, Hath had no power yet upon thy beauty. | |
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